Chaque Québécois doit plus de 34 000 $ au provincial seulement

Vaut mieux en rire!

Avant de couper des centaines de millions dans les services, est-ce qu’on peut avoir les services ? - Michel Beaudry

19 juillet, 2010

La pensée du jour

Un élève inscrit à l’école privée n’engendre pas une dépense pour le gouvernement du Québec, mais une économie. C’est pourtant facile à comprendre!
Ses parents paient pour le réseau scolaire public, à travers leurs impôts et taxes. En plus, ils paient à l’école privée 40 % du coût/élève et le gouvernement 60 %. Les adversaires de l’école privée ressortent la même revendication, année après année : couper les subventions à l’école privée pour diriger la totalité du budget prévu pour l’éducation vers le réseau public. Ils ne se rendent pas compte qu’ils se tirent dans le pied avec une telle exigence. --- Jean-Jacques Samson

2 commentaires:

Tym_Machine a dit...

Moi je propose exactement le contraire:

1- On élimine les commissions scolaires

2- On subventionne toutes les écoles à hauteur de 60%.

3- On subventionne les parents qui ont de faibles revenus via les bons d'études (school vouchers)

4- On rend l'école facultative à partir de 14 ans et/ou on propose des 'boot camps' pour les élèves parasites qui nuisent à l'apprentissage des autres.

DeadlyPredator a dit...

Les adversaires de l'école privée sont manipulés par nos syndicats gaugauche. Pour les syndicats ces écoles sont l'ennemi à abattre car elles brisent le monopole qu'elles ont sur l'éducation des futurs masses d'électeurs et diminue leur capacité de parasitage. Les écoles publiques 100% subventionnées encouragent l'inefficacité, le gaspillage et la médiocrité alors qu'une école privée doit absolument offrir de la qualité et gérer correctement ses finances pour survivre.