Le jugement de la Cour Suprême dans l’affaire Chaoulli avait donné une lueur d’espoir aux Québécois qui attendent pour une chirurgie de la hanche, du genou ou à l’œil. La Cour reconnaissait qu’ils étaient les victimes d’un système injuste et inefficace. Depuis, malgré les multiples promesses des politiciens, rien n’a vraiment changé. Une armée de fonctionnaires et des milliards de dollars n’arrivent pas à résoudre ce problème.
L’inertie du MSSSQ permet aux entrepreneurs, Lucie Vermette, Alexandre Rhéaume et Marie-Claude Béland de transformer un besoin non-satisfait en opportunité d’affaire. Leur entreprise, les Services Santé International (SSI), organise des chirurgies de la hanche, du genou ou à l’œil à Cuba. SSI qui a signé une entente avec Cubanacan Turismo y Salud nous assure que les soins seront donnés par des médecins compétents dans des hôpitaux cinq étoiles.
Pendant que le MSSSQ avec des moyens considérables, 40% du budget du Québec, fait du surplace, des entrepreneurs, avec des moyens très limités, offrent aux Québécois des solutions originales et efficaces. Pourquoi ? Le MSSQ obéit aux règles qui régissent les monopoles d’état : les fonctionnaires limitent l’offre de service pour contrôler les coûts. Les entrepreneurs sont guidés par les règles du libre-marché : ils recherchent le moyen le plus efficace de satisfaire la demande.
C’est là toute la différence.
L’inertie du MSSSQ permet aux entrepreneurs, Lucie Vermette, Alexandre Rhéaume et Marie-Claude Béland de transformer un besoin non-satisfait en opportunité d’affaire. Leur entreprise, les Services Santé International (SSI), organise des chirurgies de la hanche, du genou ou à l’œil à Cuba. SSI qui a signé une entente avec Cubanacan Turismo y Salud nous assure que les soins seront donnés par des médecins compétents dans des hôpitaux cinq étoiles.
Pendant que le MSSSQ avec des moyens considérables, 40% du budget du Québec, fait du surplace, des entrepreneurs, avec des moyens très limités, offrent aux Québécois des solutions originales et efficaces. Pourquoi ? Le MSSQ obéit aux règles qui régissent les monopoles d’état : les fonctionnaires limitent l’offre de service pour contrôler les coûts. Les entrepreneurs sont guidés par les règles du libre-marché : ils recherchent le moyen le plus efficace de satisfaire la demande.
C’est là toute la différence.
Gracieuseté d'ygreck
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