24 600 citoyens de Terrebonne ont signés une pétition réclamant une loi contre le sexisme dans la publicité. Ces citoyens qui représentent 0,33% de la population prétendent parlés au nom du Québec :
…..«au nom d'une population trop silencieuse, au nom de nos enfants qui s'étonnent devant cet exhibitionnisme, au nom de nos jeunes qui intègrent ces messages dévalorisants et ne voient que la marchandisation du corps, du corps féminin surtout et de sa sexualité», ils réclament l'adoption d'une loi pour encadrer la pratique publicitaire et bannir l'exploitation du corps des femmes comme valeur promotionnelle lors d'événements publics. »
Au Québec, tous les groupes de pression qui représentent plus de deux personnes prétendent parler au nom de tous les Québécois. Je regrette, mais vous ne parlez pas en mon nom. Je ne vous ai jamais autorisé à le faire ou à le prétendre. J’exige que vous vous récusiez et indiquiez clairement que je ne suis pas associé à votre démarche.
Je ne conteste pas le droit à tout citoyen de s’objecter à la publicité sexiste. Je m’objecte par contre à ce qu’un autre groupe demande en mon nom une autre loi pour régler le problème existentiel d’individus qui sont incapables d’agir autrement que sous la jupe du gouvernement. Le niveau de dépendance des Québécois envers l’État me désespère.
La meilleure façon de combattre une publicité est de ne pas acheter le produit. Voilà un moyen efficace de combattre la publicité sexiste sans gaspiller l’argent des contribuables. Soyez sans crainte, si au lendemain d’une nouvelle campagne publicitaire les ventes chutent, la publicité sera retirée le surlendemain. Si au contraire les ventes augmentent c’est que la majorité des consommateurs apprécie cette publicité que vous considérez offensante. De quel droit devriez-vous pouvoir imposer votre point de vue ?
…..«au nom d'une population trop silencieuse, au nom de nos enfants qui s'étonnent devant cet exhibitionnisme, au nom de nos jeunes qui intègrent ces messages dévalorisants et ne voient que la marchandisation du corps, du corps féminin surtout et de sa sexualité», ils réclament l'adoption d'une loi pour encadrer la pratique publicitaire et bannir l'exploitation du corps des femmes comme valeur promotionnelle lors d'événements publics. »
Au Québec, tous les groupes de pression qui représentent plus de deux personnes prétendent parler au nom de tous les Québécois. Je regrette, mais vous ne parlez pas en mon nom. Je ne vous ai jamais autorisé à le faire ou à le prétendre. J’exige que vous vous récusiez et indiquiez clairement que je ne suis pas associé à votre démarche.
Je ne conteste pas le droit à tout citoyen de s’objecter à la publicité sexiste. Je m’objecte par contre à ce qu’un autre groupe demande en mon nom une autre loi pour régler le problème existentiel d’individus qui sont incapables d’agir autrement que sous la jupe du gouvernement. Le niveau de dépendance des Québécois envers l’État me désespère.
La meilleure façon de combattre une publicité est de ne pas acheter le produit. Voilà un moyen efficace de combattre la publicité sexiste sans gaspiller l’argent des contribuables. Soyez sans crainte, si au lendemain d’une nouvelle campagne publicitaire les ventes chutent, la publicité sera retirée le surlendemain. Si au contraire les ventes augmentent c’est que la majorité des consommateurs apprécie cette publicité que vous considérez offensante. De quel droit devriez-vous pouvoir imposer votre point de vue ?
Aucun commentaire:
Publier un commentaire