Lorsque j’ai écrit le texte Enfin, un règlement pour encadrer l’éternuement je voulais simplement dénoncer le ridicule des régimes politiques socialisant qui règlementent tout au nom du principe « nous savons ce qui est bon pour vous ». Je ne pouvais pas imaginer que quelque part dans le monde la réalité dépasserait la fiction.
En 2004, les Espagnols ont élu le gouvernement socialiste de Jose Luiz Rodriguez Zapatero. Il doit son élection en grande partie à la tentative malhonnête de Jose Maria Aznar de récupérer à des fins politiques les actes terroristes contre les trains de banlieue de Madrid. Il tenta d’attribuer la responsabilité de cet acte insensé aux militants Basques. Depuis, en accord avec la philosophie socialiste du « Nous savons ce qui est bon pour vous », le gouvernement espagnol dicte des lois et des règlements pour tout et rien.
La dernière trouvaille du gouvernement espagnol : règlementer l’indice de masse corporelle des mannequins. Les politiciens et fonctionnaires espagnoles ont déterminé qu’un indice de masse corporelle de moins de 18 (exemple : 55 kilos divisé par 1m75 au carré) représentait un danger imminent pour la société. La pesée à laquelle durent se soumettre les 68 mannequins, devant participer au programme de la 44e édition de la Pasarela Cibeles (le grand rendez-vous de la haute-couture cofinancé par le gouvernement régional de Madrid), révéla cinq coupables. Coupable de quoi au juste ?
Selon les politiciens socialistes espagnols ces mannequins sont responsables de l’anorexie des jeunes femmes obsédées par leur poids. Les experts se sont mis de la partie. Ils ont déclarée que cette mesure était très timide, mais allait dans la bonne direction. Selon eux, plus d’un million de femmes espagnoles sont des malades mentales comportant un haut risque d’anorexie ou de boulimie.
D’autres politiciens, qui n’ont probablement rien de plus important à faire, ont souligné l’évènement et souhaité que l’exemple des Espagnols soit suivi chez eux. La ministre de la culture britannique, Tessa Jowell, a encouragé les organisateurs de la London Fashion Week à suivre l’exemple de Madrid. Le maire de Milan, Letizia Moratti, a qualifié de sick looking les mannequins qui défilent dans sa ville. Devant autant d’encouragement un représentant de Madrid, Concha Guerra, n’a pas hésité à ajouter : Thinness is not beauty, but shows some kind of deficiency.
Les gouvernements interventionnistes et socialisants ne cesseront de me surprendre….
En 2004, les Espagnols ont élu le gouvernement socialiste de Jose Luiz Rodriguez Zapatero. Il doit son élection en grande partie à la tentative malhonnête de Jose Maria Aznar de récupérer à des fins politiques les actes terroristes contre les trains de banlieue de Madrid. Il tenta d’attribuer la responsabilité de cet acte insensé aux militants Basques. Depuis, en accord avec la philosophie socialiste du « Nous savons ce qui est bon pour vous », le gouvernement espagnol dicte des lois et des règlements pour tout et rien.
La dernière trouvaille du gouvernement espagnol : règlementer l’indice de masse corporelle des mannequins. Les politiciens et fonctionnaires espagnoles ont déterminé qu’un indice de masse corporelle de moins de 18 (exemple : 55 kilos divisé par 1m75 au carré) représentait un danger imminent pour la société. La pesée à laquelle durent se soumettre les 68 mannequins, devant participer au programme de la 44e édition de la Pasarela Cibeles (le grand rendez-vous de la haute-couture cofinancé par le gouvernement régional de Madrid), révéla cinq coupables. Coupable de quoi au juste ?
Selon les politiciens socialistes espagnols ces mannequins sont responsables de l’anorexie des jeunes femmes obsédées par leur poids. Les experts se sont mis de la partie. Ils ont déclarée que cette mesure était très timide, mais allait dans la bonne direction. Selon eux, plus d’un million de femmes espagnoles sont des malades mentales comportant un haut risque d’anorexie ou de boulimie.
D’autres politiciens, qui n’ont probablement rien de plus important à faire, ont souligné l’évènement et souhaité que l’exemple des Espagnols soit suivi chez eux. La ministre de la culture britannique, Tessa Jowell, a encouragé les organisateurs de la London Fashion Week à suivre l’exemple de Madrid. Le maire de Milan, Letizia Moratti, a qualifié de sick looking les mannequins qui défilent dans sa ville. Devant autant d’encouragement un représentant de Madrid, Concha Guerra, n’a pas hésité à ajouter : Thinness is not beauty, but shows some kind of deficiency.
Les gouvernements interventionnistes et socialisants ne cesseront de me surprendre….
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