Comme vous l’avez certainement remarqué, dans mes textes je préconise moins de gouvernement et une responsabilisation accrue des individus, c’est-à-dire plus de liberté. Les gros gouvernements conduisent invariablement au gaspillage des fonds publics et à la déresponsabilisation des individus. La présentation suivante de Ken Schoolland exprime bien le pourquoi et le comment de ma position anti-gros-gouvernement.
Dans les sociétés occidentales, le gouvernement comme institution origine du besoin de protéger les libertés individuelles contre les abus des monarques. Dans ce contexte, les rôles des gouvernements se limitent à assurer la sécurité des citoyens et à administrer la justice. Malheureusement, sous prétexte de remplir l’un et l’autre de ces rôles les gouvernements grugent continuellement les libertés individuelles au profit des politiciens.
Les pères de la constitution américaine avait bien compris ce phénomène. Ils avaient inscrit dans la constitution les limites, croyaient-ils, qui devaient prévenir l’érosion constante des droits individuels au profit des gouvernements et des politiciens. S’ils revenaient à Washington aujourd’hui ils seraient certainement déçus de constater jusqu’à quel point le gouvernement américain contrôle la vie de tous les jours de leurs concitoyens.
S’ils profitaient de leur passage à Washington pour visiter le Québec, ils découvriraient une société dont la dépendance au bon vouloir de l’état a atteint un degré qu’ils ne pouvaient pas imaginer, même dans les scénarios les plus dramatiques. L’eau des piscines est contaminée, vite un nouveau règlement pour rappeler les responsables à l’ordre. Les garderies offrent des services non prévus aux règlements, on réclame un nouveau règlement pour éviter les abus. Les citoyens font de l’embonpoint, il faut un règlement pour enlever la malbouffe des comptoirs. Etc.
Les politiciens se feront toujours un plaisir de promulguer de nouveaux règlements pour répondre à la demande populaire. Toutefois, chaque nouveau règlement, sous le prétexte vertueux de répondre aux désirs de l’ensemble de la société, gruge une partie de notre liberté jusqu’au jour où l’individu est sacrifié au profit de l’élite politique. L’histoire nous enseigne quels sont les conséquences d’un tel dérapage.
Dans les sociétés occidentales, le gouvernement comme institution origine du besoin de protéger les libertés individuelles contre les abus des monarques. Dans ce contexte, les rôles des gouvernements se limitent à assurer la sécurité des citoyens et à administrer la justice. Malheureusement, sous prétexte de remplir l’un et l’autre de ces rôles les gouvernements grugent continuellement les libertés individuelles au profit des politiciens.
Les pères de la constitution américaine avait bien compris ce phénomène. Ils avaient inscrit dans la constitution les limites, croyaient-ils, qui devaient prévenir l’érosion constante des droits individuels au profit des gouvernements et des politiciens. S’ils revenaient à Washington aujourd’hui ils seraient certainement déçus de constater jusqu’à quel point le gouvernement américain contrôle la vie de tous les jours de leurs concitoyens.
S’ils profitaient de leur passage à Washington pour visiter le Québec, ils découvriraient une société dont la dépendance au bon vouloir de l’état a atteint un degré qu’ils ne pouvaient pas imaginer, même dans les scénarios les plus dramatiques. L’eau des piscines est contaminée, vite un nouveau règlement pour rappeler les responsables à l’ordre. Les garderies offrent des services non prévus aux règlements, on réclame un nouveau règlement pour éviter les abus. Les citoyens font de l’embonpoint, il faut un règlement pour enlever la malbouffe des comptoirs. Etc.
Les politiciens se feront toujours un plaisir de promulguer de nouveaux règlements pour répondre à la demande populaire. Toutefois, chaque nouveau règlement, sous le prétexte vertueux de répondre aux désirs de l’ensemble de la société, gruge une partie de notre liberté jusqu’au jour où l’individu est sacrifié au profit de l’élite politique. L’histoire nous enseigne quels sont les conséquences d’un tel dérapage.
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