Chaque Québécois doit plus de 34 000 $ au provincial seulement

Vaut mieux en rire!

Avant de couper des centaines de millions dans les services, est-ce qu’on peut avoir les services ? - Michel Beaudry

31 octobre, 2006

Les subventions.

Le gouvernement du Québec distribue 3,5 milliards de subventions aux entreprises et plus de 630 millions de subventions à environ 5 000 organismes.

26 octobre, 2006

L'Illusion Tranquille

Ce film réalisé par Denis Julien et Joanne Marcotte, sans subventions, est une première. On y dénonce la pensée magique et les tenants du statu quo sans détour. Une panoplie de panélistes issus de différents milieux remettent en question la pertinence d’un gouvernement interventionniste et socialisant. Il n’y a pas de place pour la gueule de bois : «Y'a une culture incroyable de l'anti-marché. C'est devenu une sorte de vulgate idéologique qui sert à nous couper du reste du continent et de l'Amérique du Nord en particulier», affirme Benoît Miousse, diplôme de philosophie de l'Université de Montréal. «Grosso modo ce qu'on a fait, c'est qu'on a remplacé le Sainte Trinité, le père, le fils et le Saint-Esprit, par l'État, les institutions publiques, les subventions», ajoute Mathieu Laberge, économiste et enseignant.

Le lancement du film est prévu pour le 8 novembre 2006 à Québec à la salle Dina-Bélanger, 2047, chemin Saint-Louis, Sillery. Pour plus d’information veuillez visiter le site internet http://www.lillusiontranquille.com/ . Vous pouvez y inscrire votre adresse courriel pour obtenir les dates et salle de diffusion du film au fur et à mesure qu’elles seront disponibles.

23 octobre, 2006

Les entrepreneurs québécois sont des héros.

Les entrepreneurs sont des héros peu appréciés dans la société québécoise. Pourtant, les Québécois bénéficient grandement du fait que les entrepreneurs créent la richesse collective essentielle à l’amélioration de la qualité de vie de l’ensemble de la population. Leur besoin de liberté les pousse à défier les limites du possible. Leur perspicacité à poursuivre leur rêve quoiqu’il advienne en fait des personnes exemplaires. Leur vision les transporte au-delà du visible. Lorsque leurs rêves se matérialisent l’ensemble de la société en bénéficie grandement.

Qui sont les héros ?

Pour certains, un héros est une personne qui possède des valeurs classiques : honnêteté, courage, bravoure. Pour d’autres, c’est quelqu’un d’exemplaire dans tout ce qu’il fait. Pour plusieurs, un héros est quelqu’un qui accepte de se sacrifier pour les autres. Beaucoup de Québécois classifient les artistes et les athlètes qui ont réussi dans la catégorie de héros. Dans tous les cas ce sont des individus pour qui la liberté est l’élément essentiel de la réussite.

Selon Joseph Campbell, expert en mythologie, le héros doit obligatoirement traverser trois étapes : La première étape est le passage du familier et confortable vers l’inconnu. Le héros risque l’échec pour atteindre un objectif perçu comme illusoire, irréalisable. La deuxième étape consiste à vaincre les nombreux obstacles qui s’opposent à la réalisation du rêve du héros. Finalement, à la troisième étape le succès du héros rayonne sur l’ensemble de sa communauté.

L’entrepreneur, un héros moderne.

Dans le monde moderne, les entrepreneurs traversent les trois étapes du voyage classique des héros pour réaliser leurs rêves. Ils sont tout aussi courageux et intrépides que les héros mythiques qui doivent affronter les dragons et vaincre les forces du mal. Tout comme ceux-ci, ils devraient être reconnus comme des modèles à suivre.

À la première étape de son voyage héroïque, l’entrepreneur remet en question le statu quo. Il ne se laisse pas intimider par les obstacles et les défis. Il est naturellement optimiste. Il visualise une meilleure façon d’accomplir une tâche, de satisfaire une demande ou de rencontrer un besoin. Il refuse les idées préconçues traçant les limites entre le possible et l’impossible. Bref, il jouit d’une grande liberté et il en assume les conséquences.Au cours de cette première étape, plusieurs facteurs motivent l’entrepreneur. Certains désirent devenir riche et être reconnu socialement. D’autres cherchent simplement à s’investir pour améliorer le sort de leur famille ou de leur communauté. Plusieurs recherchent l’aventure et les défis. Ils ont tous en commun un surplus d’énergie, une vision et une détermination à toute épreuve.À la deuxième étape, l’entrepreneur se retrouve en territoire inconnu. Il est prêt à tout sacrifier pour réaliser son rêve qu’il perçoit plus important que lui-même. Tout le reste devient secondaire.

L’entrepreneuriat est souvent controversé car tous envient la grande liberté dont jouissent les entrepreneurs. L’entrepreneur est sans cesse confronté à l’inconnu et aux embûches. Au cours de cette deuxième étape il est continuellement mis en échec par les tenants du statu quo. Ses anciens collègues qui comptaient sur lui pour sauver le système, au mieux le jalouseront, au pire le considéreront comme un traître qui abandonne le navire. Ses parents et amis lui reprocheront de tout sacrifier à la poursuite de son rêve. Il doit persister malgré les désaveux, les erreurs et les échecs.

À la troisième étape l’entrepreneur offre finalement son produit ou service à la communauté. En achetant ses produits ou services les clients consacrent sa réussite. La profitabilité de l’entreprise mesure le degré de création de richesse de son projet. Les profits sont sa récompense pour avoir amélioré le sort de ses concitoyens. Ainsi, en créant de la richesse l’entrepreneur devient bienfaiteur. Il offre à ses concitoyens des produits et services qui ne seraient pas disponibles autrement, du moins pas aux mêmes conditions.Le vrai entrepreneur est différent de l’homme d’affaire qui cherche seulement à maintenir une longueur d’avance sur ses compétiteurs. Surtout, il ne compte pas sur les subventions du gouvernement ou sur une règlementation favorable pour assurer son succès. Ce qui le motive vraiment c’est le sentiment de liberté et d’accomplissement que procure la réalisation d’un rêve.

L’entrepreneur, un individu hors du commun.

Le succès est souvent fugitif et jamais assuré. Quatre-vingt pour cent des nouvelles entreprises ne termineront pas leur quatrième année d’existence. La plupart des produits révolutionnaires voient le jour dans le garage d’un entrepreneur dans des conditions que peu de gens seraient prêts à accepter.

Même dans ces conditions extrêmes, les entrepreneurs créent 80 pourcent des nouveaux emplois. Ils sont toujours les premiers à offrir les services d’avant-garde tant attendus par une société en constante évolution.

Une société qui compte peu d’entrepreneurs est une société vouée à stagner ou pire encore, à régresser. L’entrepreneur est garant de la liberté, créativité et dynamisme d’une communauté. La région de Chaudière-Appalaches compte plus d’entrepreneurs par 1000 de population que les autres régions du Québec et le taux d’assistance-emploi y est systématiquement le plus bas. À la fin du premier trimestre 2006 il était de 5,2% alors qu’il dépassait 11% à Montréal.

Pourtant, le rôle de l’entrepreneur est peu valorisé particulièrement dans les sociétés socialisantes. La liberté dont jouit l’entrepreneur est perçue comme un danger. Il est étouffé par une règlementation sclérosante et coûteuse conçue pour satisfaire les éléments les plus frileux et les plus dépendants de la société.

Pourquoi les entrepreneurs sont-ils perçus comme des exploiteurs et non comme les héros qu’ils sont ? Le poids politique des entrepreneurs est faible par rapport à celui des grandes corporations et des groupes de pression. Aussi, dans un système politique socialisant comme celui que nous connaissons au Québec, l’entrepreneur est systématiquement désavantagé.

Il est rarement valorisé par les politiciens qu’il perçoit comme autant d’obstacles à la liberté qu’il chérit plus que tout. Les qualités véhiculées par l’entrepreneur font ressortir les faiblesses de ceux qui dépendent de l’état. Ils le perçoivent comme le dénonciateur de leurs faiblesses et ils se méfient de ses intentions.

Sa nature résolument individualiste et une confiance inébranlable en ses capacités, le motive à affronter et surmonter les nombreux obstacles placés sur son chemin par les gouvernements. Ce faisant, il froisse nécessairement les susceptibilités des bureaucrates.

Les tenants du modèle québécois, qu’il serait plus juste de qualifier de modèle de société socialisante, dénigrent systématiquement l’entreprise privée. Pour eux, les entrepreneurs sont que des empêcheurs de tourner en rond qu’il faut contrôler de près faute de pouvoir les éliminer. Leur tâche est grandement simplifiée par le fait que le lien entre les réalisations d’un entrepreneur et le bien-être des Québécois est souvent loin d’être évident.

De plus, trop peu de Québécois connaissent les règles de fonctionnement d’une économie de marché. Les médias dénoncent, avec raison, les abus inévitables. Par contre, ils parlent peu ou pas des bénéfices qui en découlent. Ainsi, les Québécois ont développé une vision biaisée et négative de l’économie de marché et par association, des entrepreneurs.

Les artistes, les athlètes et les entrepreneurs.

Tous s’accordent à dire qu’il faut investir dans la culture et le sport. Des centaines de millions sont accordés en subventions, commandites et bourses pour permettre aux meilleurs de percer. Les médias réservent les plages horaires de grande écoute aux artistes à succès. Les athlètes côtoient les artistes et les politiciens dans les talk show. Ceux qui se hissent au-dessus de la mêlée sont respectés et adulés par la population. On leur pardonne facilement une erreur, un échec. Ce sont des héros, nos héros. On semble savoir intuitivement que c’est en les valorisant que nous permettrons aux meilleurs et au plus grand nombre de réussir.

Peu s’offusque du fait qu’un artiste ou un athlète gagne des revenus annuels dans les 7 ou 8 chiffres. On admet facilement que c’est normal puisqu’ils ont tout sacrifié à leur passion et réussi là où tant d’autres ont échoué.

Pourquoi alors ne traite-t-on pas les entrepreneurs sur le même pied ? Malheureusement, au Québec c’est trop souvent le contraire qui se produit. On se méfie de l’entreprise privée et souvent on la dénigre bien injustement. Une réglementation coûteuse et souvent inutile réduit les chances de succès des entrepreneurs (Exemple : les garderies privées). On privilégie le monopole d’état inefficace au détriment de l’entreprise privée qui pourrait offrir des services de meilleure qualité à moindre coût (Exemple : la SAQ). On enseigne que la solidarité passe obligatoirement par l’état (Exemple : école publique vs école privée). Les médias et les journalistes penchent trop souvent en faveur des options socialisantes (Exemple : Bias de Bernard Golberg).

Dans un tel contexte il est plutôt surprenant qu’il y ait encore des Québécois qui osent s’aventurer comme entrepreneurs. Comme pour les artistes et les athlètes, c’est seulement en valorisant l’entrepreneuriat que nous permettrons aux meilleurs et au plus grand nombre de percer et de réussir.

Conclusion.

Une société est façonnée par les valeurs qu’elle véhicule. Les Québécois sont fiers de leurs artistes et de leurs athlètes. Ils voient en eux un échantillon représentatif de l’ensemble de la société. Aussi, le Québec produit plus d’artistes et d’athlètes de calibre international que ne le justifie sa population.

Le même succès est à notre portée dans le domaine économique. Toutefois, cela requiert un changement important dans le système de valeurs des Québécois : le profit est la mesure du succès, non du vol ; l’entreprise privée est plus efficace que la bureaucratie d’état ; enfin, l’entrepreneur est un héros qui fait rayonner les valeurs Québécoises au-delà de nos frontières tout comme l’artiste ou l’athlète.

Verrons-nous un jour la Soirée des Entrepreneurs où les artistes québécois rendront hommage aux entrepreneurs ?

19 octobre, 2006

Tyranny of control (Milton Friedman)

Les gouvernements interventionnistes nuisent à l’innovation et limitent le choix des consommateurs. Les qualificatifs bon, excellent, meilleur sont remplacés par « approuvés » ou « autorisés ». Milton Friedman argumente que les grandes industries recherchent la protection du gouvernement sous forme de réglementations ou de subventions pour réduire leurs coûts et contrôler le marché au détriment des contribuables et consommateurs. (1.5 min.)

13 octobre, 2006

La vie facile.

La préface du Broadway musical Knickerbocker Holiday (1938-1939), écrite par Maxwell Anderson, mettait les Anglais en garde contre l’érosion des libertés individuelle au profit d’un gouvernement qui contrôle tout. Si Maxwell Anderson observait la société québécoise d’aujourd’hui il reformulerait sa préface comme suit :

La vie facile.

Si les millions de travailleurs québécois qui paient des impôts et des taxes pouvaient imaginer l’absolutisme bureaucratique que cela engendre pour eux et leurs enfants ils seraient moins prompt à exiger toujours plus du gouvernement. Lorsqu’un gouvernement contrôle la vie économique des gens il devient totalitaire et le totalitarisme détruit les arts, l’esprit, les libertés et l’essence même des gens qu’il gouverne. Ce n’est pas par accident que l’Allemagne, le premier état paternaliste de l’Europe moderne, a été prise en otage par un dictateur incontrôlable responsable de la première guerre mondiale ; ce n’est pas un accident non plus si la Russie, en adoptant un système économique socialiste pour des raisons humanitaires, a institué un système tyrannique plus sanguinaire et absolu que le tsarisme. Les Québécois doivent se responsabiliser et reprendre le contrôle de leur vie pour dynamiser l’économie et éviter un dérapage incontrôlable. Les personnes nourries et chouchoutées par les gouvernements deviennent rapidement des esclaves.

The Guaranteed Life

IF the millions of workingmen in this country who are patiently paying their social security dues could glimpse the bureaucratic absolutism which that act presages for themselves and their children they would repudiate the whole monstrous and dishonest business overnight. When a government takes over a people's economic life it becomes absolute, and when it has become absolute it destroys the arts, the minds, the liberties and the meaning of the people it governs. It is not an accident that Germany, the first paternalistic state of modern Europe, was seized by an uncontrollable dictator who brought on the second world war; not an accident that Russia, adopting a centrally administered economy for humanitarian reasons, has arrived at a tyranny bloodier and more absolute than that of the Czars. And if England does not turn back soon she will go the same way. Men who are fed by their government will soon be driven down to the status of slaves or cattle.

--MAXWELL ANDERSON, Written in a preface to Knickerbocker Holiday

10 octobre, 2006

Les leçons de l'histoire.

La plupart des pays qui ont expérimenté le socialisme se convertissent éventuellement au capitalisme. Malgré les multiples insuccès du socialisme, au Québec on croit toujours que l’état interventionniste est la solution à tous nos problèmes. Pourquoi ?

Failure of socialism par Milton Friedman (1 min.)

06 octobre, 2006

Citoyens ou sujets ?

Nos ancêtres, en quête de liberté, ont quitté la France pour s’affranchir de l’asservissement imposé par l’aristocratie. Ils sont venus s’établir au Québec où ils jouissaient d’un degré de liberté inimaginable dans un pays européen. Cette liberté qui leur était si chère fut acquise au prix de sacrifices extrêmes et souvent au prix de leur vie. Ils seraient bien déçus de constater que moins de quatre siècles plus tard le gouvernement du Québec a graduellement remplacé l’aristocratie française.

Nos ancêtres étaient des entrepreneurs pour qui la liberté comptait plus que le confort et la sécurité. Au début de la colonie, dans le but d’assurer le développement de l’agriculture, un édit défendait aux habitants de s’absenter en forêt plus de 24 heures. S’ils étaient pris en flagrant délit ils risquaient la peine de mort. Malgré cet édit, les autorités estimaient que plus de 800 colons, une majorité des hommes en âges de travailler, pratiquaient le métier de coureur de bois. Si les autorités empiétaient sur leurs droits fondamentaux nos ancêtres n’hésitaient pas à les défier au péril de leur vie.

Historiquement les gouvernements n’avaient pas pour fonction de régir les activités de la société dans ses moindres détails. Les premiers gouvernements fournissaient aux citoyens certains services difficiles à obtenir autrement. Les gouvernements d’antan n’étaient pas différents des autres organisations et professionnels qui composaient la société. Les citoyens consultaient le médecin pour leurs problèmes de santé et faisaient appel au gouvernement pour assurer leur sécurité et pour gérer la justice. Personne n’était autorisé à régir la vie des autres. La relation entre le citoyen et le gouvernement était celle d’un client (citoyen) envers un fournisseur (gouvernement). Les échanges étaient volontaires et les partis bénéficiaient d’un statut légal équivalent.

Au fil des siècles, le rôle des gouvernements a été perverti dans le but de donner de plus en plus de pouvoir au gouvernement au détriment des libertés individuelles. Cette situation est particulièrement évidente dans la vie de tous les jours des Québécois. Quoique vous fassiez il existe une loi, un règlement qui limite votre liberté ou qui exige une permission. Il est raisonnable d’exiger une permission pour utiliser une propriété ou un bien appartenant à quelqu’un d’autre. Le gouvernement n’est pas propriétaire des biens qu’il gère. Il est seulement le fiduciaire des propriétés et biens requis pour remplir les rôles que nous lui avons délégués. De quel droit est-ce que le gouvernement brime la liberté des Québécois en les obligeant : à devenir membre d’un syndicat contre leur gré, à financer un parti qui préconise des politiques qui vont à l’encontre de leurs croyances les plus profondes, à se faire soigner dans les établissements désignés par l’état, etc.

En grugeant graduellement les libertés individuelles les gouvernements successifs ont conditionnés les Québécois à se comporter comme des sujets. Les rois français multipliaient le prix du sel en imposant la gabelle. Le gouvernement multiplie le prix de l’essence en imposant des taxes. Les rois confisquaient le vingtième des récoltes des habitants. Le gouvernement exproprie près de 50% des revenues des Québécois. Les rois achetaient la loyauté de leurs sujets en distribuant des titres de noblesse. Le gouvernement distribue des subventions et des nominations. Les rois contrôlaient le monopole des moulins à farine. Le gouvernement contrôle les monopoles de l’électricité et de la distribution des boissons alcoolisées.

Cette situation, surtout depuis les derniers quarante ans, a conditionné les Québécois à se comporter comme des sujets. Ils trouvent normal les contraintes imposées à leur liberté. Ils acceptent volontiers d’échanger leur liberté contre de vagues promesses de veiller au mieux être de l’ensemble de la population. Ils ont perdu leurs réflexes de citoyens libres légués par leurs ancêtres.

C’est confortable et rassurant, mais dangereux. Sera-t-il possible de renverser la tendance actuelle avant qu’il ne soit trop tard ?

02 octobre, 2006

Steve Job (Apple)

L’érosion graduelle des libertés individuelles est, selon moi, le plus grand danger que les Québécois doivent combattre. On accepte beaucoup trop facilement d’échanger notre liberté contre de vagues promesses politiques. Les mesures socialisante, sous le prétexte vertueux de veiller au mieux être de l’ensemble de la population, servent d’abords à accroître le pouvoir des politiciens. L’effet pervers d’une société socialisante est la déresponsabilisation des individus. Les conséquences de cette déresponsabilisation sont : la perte de la notion d’imputabilité, le gaspillage des fonds publics, la peur du risque, l’immobilisme généralisé, etc.

Steve Job, comme la plupart des entrepreneurs, n’a pas craint de prendre des risques et d’en assumer les conséquences. Son discours aux finissants de Stanford est particulièrement révélateur (15 min.)